Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
La malédiction du parapluie

La malédiction du parapluie

Allez Hop, je vous fais partager mes lectures... Je vous conseil ce petit livre, une B.D., c'est plein des petites choses de la vie, celles qu'on pense sans les dire, ou pas toujours... Le récit des petits moments de la vie de l'auteur, ses pensées, ses...

Lire la suite

Elle devait mourir ce jour là

Elle devait mourir ce jour là, dans son salon, pas très loin de sa famille… Mais elle ne partait pas sans dire au revoir. Lorsque sa belle-mère, une petite femme frêle et dépressive, l’a trouvée au milieu du salon, elle soufflait encore son au revoir....

Lire la suite

Touche pas au grizzbi...

Touche pas au grizzbi...

Là je m'emporte un peu, c'est vrai. Mais il ne faut pas exagérer ! Ce matin j'entends à la radio que 150 000 foyers français sont touchés par le surendettement alors même qu'à été créé la commission du même nom il y a 15 ans pour les aider. Et combien...

Lire la suite

de loin... [3]

Les danseurs s'agitaient de mouvements convulsifs des épaules et des jambes, les bras balancés comme des poids morts, abandonnés. En lignes successives, ils s'approchaient mécaniquement du mur sonore dont les basses faisaient trembler les corps. Ils passaient...

Lire la suite

Anti machin, pro truc...

Au nom de la morale, d'une certaine vérité, du droit de ceci ou de cela, des hommes font la guerre à d'autres hommes, des croisades s'organisent, des massacres se perpétuent. Au nom de l'incroyable suffisance de ceux qui croient savoir, des conflits sont...

Lire la suite

De loin... [2]

C'est là que je rêverai à cette histoire extraordinaire. Celle que racontait nos anciens, l'histoire d'une fête mémorable qui eu lieu dans la lande du pays du Nord. Ma perception du salon se mélangera peu à peu avec les effluves passés des rondes endiablées...

Lire la suite

Mémoire

La petite mort parcourt mes jours De chasseur pacifique du sombre «enguenillé» Et le soleil réveille en moi le vent léger D’un matin frais de nos étés armoricains. Elle, enfante chaque jour L’espoir de partager encore L’innocence frêle et colossale De...

Lire la suite

de loin... [1]

Pour ne pas faire de bruit lorsque je me relèverai, je marcherai sur la pointe des pieds, doucement, effleurant le parquet. Mes enfants n'en sauront rien, ma femme se tournera simplement dans le lit, juste frôlée par la brise de mon passage. J'irai m'asseoir...

Lire la suite

<< < 1 2